Pas moins de cinq études reviennent sur les conséquences de la sous-nutrition maternelle et infantile. Maigreur, retard de croissance, déficit en vitamines et minéraux essentiels… le bilan est lourd, occasionnant chaque année, dans le monde, plus d’un tiers des décès d’enfants de moins de cinq ans. Pourtant, des actions sur l’alimentation des futures mamans et des nourrissons permettraient de diminuer ce chiffre. A savoir qu’il est recommandé d’agir au moment de la grossesse et avant les 2 ans du tout-petit. Au-delà, les dégâts sont irréversibles.<br>
Une quarantaine de pays sont touchés par la sous-nutrition, avec, en tête, la Birmanie, l’Ouganda, l’Inde et l’Afrique du Sud. Ce n’est pas rien !<br><br>